Je vous souhaite une très belle année 2020 !
Mais attention hein, qu’on ne se méprenne pas, quand je dis « belle », je ne dis pas « parfaite », « splendide », ou encore « magnifique »…
Je ne parle pas de ce que l’on trouve aujourd’hui sur Instagram (et sur d’autres réseaux d’ailleurs) qui ne sont que des choses parfaites.
Comme si il fallait à tout prix afficher ses dernières chaussures, son voyage au ski, tous les plats que l’on a mangé au resto le soir du réveillon. Comme si l’on n’existait qu’à travers les « likes » de nos followers.
Ça me fait d’ailleurs penser au dernier sketch de Florence Foresti sur Instagram et qui dit « mais c’est quoi ce réseau où tout le monde est plus belle que moi ? » 🙂
Non, quand je vous souhaite une belle année, je vous souhaite une année authentique. Une année où la personne la plus importante ce sera vous (ça veut pas dire qu’on oublie les autres, hein ! Ça veut dire que l’on a pas besoin du regard des autres pour exister !). La personne qui changera votre vie, c’est celle que vous voyez dans le miroir chaque matin.
Quand je dis « belle année », je dis :
- une année légère : ben oui, on s’en fout de ne pas être parfait(e), c’est bien comme ça !
- une année paisible : on ne se met pas la pression et on accepte de faire des erreurs. D’ailleurs c’est en faisant des erreurs que l’on apprend.
- une année qui fait éclore ce qui est au fond de nous : on se reconnecte à ce que l’on aime faire et on ose dire « non ». Essayez ! Qu’est-ce qu’on se sent bien quand on ose dire « non » à des trucs ou à des personnes qui nous gavent sérieusement !
- une année où l’on cultive la pensée positive. Plantez chaque jour une petite graine de pensée positive et récoltez-en les fruits. C’est par exemple, s’accorder chaque jour un moment rien qu’à vous, un moment que vous allez apprécier, un moment que vous allez savourer.
Je vous souhaite à toutes et tous cette belle année 2020. Celle qui donnera à chaque jour la chance de devenir le plus beau jour de votre vie.
On se retrouve l’an prochain pour faire le point ?
Pour finir, voici le lien vers la petite vidéo de Florence Foresti dont je parlais en début d’article.